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CHANTER


Chanter, avoir mal, avoir peur mais
chanter à l'heure de sa dernière heure
chanter l'amour, le chagrin, la tendresse
les fleurs qui naissent les nuits d'été

chanter, avoir peur, avoir mal mais
chanter la tête dans les étoiles
chanter la joie et la fureur de vivre
en équilibre, en liberté)

Chanter pour un enfant qui souffre
chanter jusqu'à perdre le souffle
chanter et même à la fin du spectacle croire qu'un miracle peut exister.

Vivre, survivre, défier le temps,
avoir cent ans et un certain sourire,
être ivre des mots d'amour des symphonies
sur la portée des jours et toujours

chanter comme un feu qui pétille
chanter comme un regard qui brille
chanter l'espoir, la folie, l'impossible
prendre pour cible l'immensité

Suspendre, apprendre, user sa vie à trop vouloir comprendre
attendre, entendre le moindre cri
la paix géante de l'homme tout petit et toujours

Chanter, avoir mal, avoir peur mais
chanter à l'heure de sa dernière heure
chanter l'amour, le chagrin, la tendresse
les fleurs qui naissent les nuits d'été

chanter, avoir peur, avoir mal mais
chanter la tête dans les étoiles
chanter la joie et la fureur de vivre
en équilibre, en liberté
chanter, chanter, chanter.

Les anges dans nos campagnes


Les anges dans nos campagnes
Ont entonné l'hymne des cieux,
Et l'écho de nos montagnes
Redit ce chant mélodieux :
Gloria in excelsis Deo (Bis)

Bergers, pour qui cette fête ?
Quel est l'objet de tous ces chants ?
Quel vainqueur, quelle conquête
Mérite ces cris triomphants :
Gloria...

Ils annoncent la naissance
Du libérateur d'Israël
Et pleins de reconnaissance
Chantent en ce jour solennel :
Gloria ...

Cherchons tous l'heureux village
Qui l'a vu naître sous ses toits
Offrons-lui le tendre hommage
Et de nos cœurs et de nos voix :
Gloria ...

Bergers, quittez vos retraites,
Unissez-vous à leurs concerts,
Et que vos tendres musettes
Fassent retenir les airs :
Gloria ...

Petit Papa Noël


C'est la belle nuit de Noël
La neige étend son manteau blanc
Et les yeux levés vers le ciel,
A genoux, les petits enfants,
Avant de fermer les paupières,
Font une dernière prière.

{Refrain:}
Petit Papa Noël
Quand tu descendras du ciel
Avec des jouets par milliers
N'oublie pas mon petit soulier

Mais, avant de partir,
Il faudra bien te couvrir
Dehors tu vas avoir si froid
C'est un peu à cause de moi

Il me tarde tant que le jour se lève
Pour voir si tu m'as apporté
Tous les beaux joujoux que je vois en rêve
Et que je t'ai commandés

{Refrain}
Le marchand de sable est passé
Les enfants vont faire dodo
Et tu vas pouvoir commencer
Avec ta hotte sur le dos
Au son des cloches des églises
Ta distribution de surprises

Et quand tu seras sur ton beau nuage
Viens d'abord sur notre maison
Je n'ai pas été tous les jours très sage
Mais j'en demande pardon

{Refrain}
Petit Papa Noël...

Vive le vent


Sur le long chemin
Tout blanc de neige blanche
Un vieux monsieur s'avance
Avec sa canne dans la main
Et tout là-haut le vent
Qui siffle dans les branches
Lui souffle la romance
Qu'il chantait petit enfant :

{Refrain:}
Vive le vent, vive le vent
Vive le vent d'hiver
Qui s'en va sifflant, soufflant
Dans les grands sapins verts...
Oh ! Vive le temps, vive le temps
Vive le temps d'hiver
Boule de neige et jour de l'an
Et bonne année grand-mère...
Joyeux, joyeux Noël
Aux mille bougies
Quand chantent vers le ciel
Les cloches de la nuit,
Oh ! Vive le vent, vive le vent
Vive le vent d'hiver
Qui rapporte aux vieux enfants
Leurs souvenirs d'hier...

Et le vieux monsieur
Descend vers le village,
C'est l'heure où tout est sage
Et l'ombre danse au coin du feu
Mais dans chaque maison
Il flotte un air de fête
Partout la table est prête
Et l'on entend la même chanson :
{au Refrain}

Boule de neige et jour de l'an
Et bonne année grand-mère !
Vive le vent d'hiver !

Mon beau sapin


Mon beau sapin, roi des forêts
Que j'aime ta verdure !
Quand par l'hiver, bois et guérets
Sont dépouillés de leurs attraits
Mon beau sapin, roi des forêts
Tu gardes ta parure.

Toi que Noël planta chez nous
Au saint anniversaire,
Mon beau sapin, comme il est doux
De te voir briller par nous,
{variante:
Mon beau sapin, comme ils sont doux
et tes bonbons et tes joujoux}
Toi que Noël planta chez nous
Scintillant de lumière.

Mon beau sapin tes verts sommets
Et leur fidèle ombrage
De la foi qui ne ment jamais
De la constance et de la paix.
Mon beau sapin tes verts sommets
M'offrent la douce image.

Il est né le divin enfant


{Refrain:}
Il est né le divin enfant,
Jouez hautbois, résonnez musettes !
Il est né le divin enfant,
Chantons tous son avènement !

Depuis plus de quatre mille ans,
Nous le promettaient les prophètes
Depuis plus de quatre mille ans,
Nous attendions cet heureux temps.
{au Refrain}

Ah ! Qu'il est beau, qu'il est charmant !
Ah ! que ses grâces sont parfaites !
Ah ! Qu'il est beau, qu'il est charmant !
Qu'il est doux ce divin enfant !
{au Refrain}

Une étable est son logement
Un peu de paille est sa couchette,
Une étable est son logement
Pour un dieu quel abaissement !
{au Refrain}

Partez, grands rois de l'Orient !
Venez vous unir à nos fêtes
Partez, grands rois de l'Orient !
Venez adorer cet enfant !
{au Refrain}

Il veut nos cœurs, il les attend :
Il est là pour faire leur conquête
Il veut nos cœurs, il les attend :
Donnons-les lui donc promptement !
{au Refrain}

O Jésus ! O Roi tout-puissant
Tout petit enfant que vous êtes,
O Jésus ! O Roi tout-puissant,
Régnez sur nous entièrement !
{au Refrain}

FLUTE ENCHANTEE


1.-
Die Zauber Flöte
Bel opéra si féerique, magique, même idyllique
offert par ton génie, à nous grands et petits,
esprit pétri de l’art, unique Mozart.

Prince Tamino riche et très beau,
cherchant l’âme sœur, de tout son coeur.
Papageno le guignolo
oiseleur rieur parfois menteur.
Reine de la nuit, pleure sa fille
belle Pamina qui n’est plus là.,
C’est Sarastro le magicien,
qui l’a enlevée pour l’éduquer.

Et à présent c’est le moment
de vous raconter l’épopée
de ce jeune prince parti
chasser dans la forêt le gros gibier.
Mais la nuit a surgi
ombres croissantes,
pauvre prince est alors égaré.
Soudain un craquement,
un monstre sifflant se tient là tout près,
prêt à l’avaler en une seule bouchée.
Le prince effrayé s’enfuit
en criant: “sauvez ma vie!”
Quelle course folle
de rocher en rocher
tentant de s’échapper.
Le prince effrayé s’enfuit
en criant: “sauvez ma vie!”
Dans sa course folle
de rocher en rocher
il chute inanimé.
Trois jolies fées armées d’épées
vont le sauver, puis avertir
Reine de la Nuit de l’intrusion
d’un fort beau garçon
(Narrateur): Où suis-je? le monstre est mort!
mais qui l’a tué? quelle est cette musique,
et toi?, qui es-tu?

2.-
C’est moi, l’oiseleur qui capture des oiseaux
et pour tous, je suis Papageno.
Au service de la Reine, je dois lui porter
tous ceux que j’ai pu attraper.
En échange elle me donne à boire, à manger.
Voilà pourquoi je vis dans la forêt.
Mais voyant le monstre prêt à t’agresser,
j’ai couru vers lui et je t’ai libéré.

3.-(4)
(Narrateur: 3 fées): Menteur, Papageno
puisque c’est ainsi, tu ne diras plus mot.

Quelle aventure mon pauvre ami,
ton imposture t’a bien puni.
Si je ne peux te délivrer,
permets moi de te réconforter.
Tu reste muet, la langue scellée?
la bouche cad’nassée par les fées.
Mais crois-moi tout va s’arranger,
tout va sans doute s’arranger!!.

4.-(5)
(Narrateur: 3 fées): Pour toi, prince Tamino,
de la part de la Reine
voici en cadeau
le portrait de sa fille Pamina,
(Tamino):
Comme elle est belle!
(Reine de la nuit):
Tu pourras l’épouser
si tu la délivres du magicien Sarastro.
( 3 fées à Papageno):
La Reine te fait grâce
elle a levé la punition,
tu dois conduire Tamino
jusqu’au près de Pamina,
pour t’aider voici ces grelots magiques,
pour toi Tamino cette flûte enchantée.
(Tamino et Papageno ensemble):
Partons chacun de notre côté en cas de problème n’oublions pas grelots
et flûte enchantée.
(Papageno) voici le palais de Sarastro,
vite je délivre Pamina.
(Pamina): grand merci d’être ici,
pour m’ avoir secouru, tu pris là tant de risques,
dis-moi, qui es-tu?
(Papageno): C’est ta mère qui m’envoie
pour guider Tamino, épris de toi
dès qu’il vit ton minois.
Quel bonheur d’aimer
de (tout, ou, ou,) tout partager.
L’amour si beau
c’est comme un cadeau.
L’amour si merveilleux
quand on le vit à deux.
Quel est donc ce galant
se faisant si pressant
qui pourtant ne vint pas lui-même
me prouver
combien il m’aime.
Le prince m’a supplié de le devancer
pour annoncer sa prochaine arrivée.
Amour radieux,
amour précieux,
homme et femme ou )
femme et homme seront unis pour la vie ) bis
oui, unis par la vie,
unis pour la vie.

5.- (7)
Course rapide, coeur vaillant,
protégeant de la colère menaçante
puissions nous retrouver le prince
avant que l’on soit enserrés dans leurs pinces.
Hâtons nous, échappons au terrible ennemi
avant qu’il n’ait gagné sur nous son défi.
Merci pour tout ce que tu fais!
Attends, attends, attends, je peux encore mieux t’aider. (flûte)
Quelle joie le son de cette flûte,
nous ne sommes plus perdus, Tamino nous a entendus.
Hâtons nous pour échapper à Monostatos (ter).
Fuyons, vite (4-4-5 fois).
Je vous ai rattrapés
je vais vous apprendre à vivre
bien du temps s’écoulera avant qu’on ne vous délivre.
Apportez de suite les fers
pour attacher les deux compères
qu’ils ne puissent plus s’en défaire.
(Papageno) Il faut oser pour gagner,
clochettes sonnent, sonnent, sonnent.
Et voilà l’harmonie qui adoucit l’ennemi,
la rancoeur est oubliée,
ils se mettent à danser, à chanter sans s’arrêter.
Cela sonne si joyeux, cela sonne si gai,
la la la la
Vivons la joie, l’amitié, la liberté. (bis)

6.- (8)
(Narrateur): Alors que les esclaves dansent
Papageno et Tamino se retrouvent chez Sarastro.
“Le père de Pamina avant sa mort m’a confié son éducation, je veux être sûr par des épreuves
que Tamino est digne d’elle”.

Pour gagner les cœurs qui vous sont destinés,
il vous faut accepter avec sagesse l’épreuve imposée.
Demeurer vertueux, généreux, silencieux,
le silence offre à l’homme la joie d’accueillir et
d’écouter le coeur de l’autre.
Pour aimer les femmes qui vous sont destinées,
ne plus parler il vous est donc demandé.
De patience munissez vous, la persévérance trouve récompense.
Pour gagner les cœurs qui vous sont destinés,
il vous faut accepter avec sagesse l’épreuve imposée.
Demeurer vertueux, généreux, silencieux,
le silence offre à l’homme la joie d’accueillir et
d’écouter le coeur de l’autre.
Pour aimer les femmes qui vous sont destinées,
ne plus parler il vous est donc demandé.
De patience munissez vous, la persévérance trouve récompense.

7.- (11)
(Narrateur) Pamina ne comprend pas pourquoi
Tamino n’a rien à lui dire et semble ne plus l’aimer. Elle en est triste.

Ô Tamino, pourquoi ne dis-tu mot,
j’ai tant d’amour pour toi.
En as-tu pour moi?
Je t’en prie est-ce vraiment fini?
Dans mon coeur a germé le bonheur,
ta présence m’apportait une douce assurance,
comment imaginer que tu puisses me laisser
sur le bord du chemin, seule...............
toute seule, abandonnée.
Vois, Tamino, ces lourds sanglots
de douleur, de crainte et de peur.
Ne reviendras-tu jamais,
tout espoir est-il donc envolé?
J’ai le coeur déchiré par ton pesant silence
demeurant inexpliqué à mon sens.
J’ai si mal, ça devient infernal
Ô je t’en prie, reviens, mon ami.
comment imaginer que tu puisses me laisser
sans pitié sur le chemin, seule, abandonnée,
toute seule, perdue, délaissée, et ab-an-an-andonnée.

8.- (20)
(Narrateur) Papageno le beau parleur cherche l’âme sœur.
Une petite femme ferait le grand bonheur
de Papageno l’oiseleur,
une douce tourterelle pourrait m’apporter
un joli petit coin de ciel. (ter)
Le boire et le manger me plairaient
je profiterais de mes années
ce serait la vie de château
comme un prince Papageno.
de château, de château, de château,
je vivrais comme à l’Élysée
et je connaîtrais la félicité, et la félicité, et la félicité.

Une petite femme ferait le grand bonheur
de Papageno l’oiseleur,
une douce tourterelle pourrait m’apporter
un joli petit coin de ciel. (ter)
Un baiser me comblerait de joie,
mon être en chavirerait d’émoi,
ce serait peut être l’amour
un amour naissant pour toujours;
un amour, un amour, un amour.
qui illuminerait mon coeur,
m’apporterait un grand bonheur,
un très grand bonheur, un très grand bonheur, un très grand bonheur.

Une petite femme ferait le grand bonheur
de Papageno l’oiseleur,
une douce tourterelle pourrait m’apporter
un joli petit coin de ciel. (ter)
Ah, pourquoi ne puis-je donc plaire
pour m’éviter toute misère.
À une ravissante jeune fille
égaierait sans fin ma vie,
jolie fille, jolie fille, jolie fille,
il;te suffirait d’être ici,
de savoir tendrement me dire “oui”,
juste un simple “oui”, juste un simple “oui”.

9.- (21-9 à partir de Papagena)
(Narrateur): Papageno est désespéré, mais soudain il est stupéfait;
Papagena est là devant lui!
Po- Pa-pa-pa........gena!
Pa- Pa-pa-pa.......geno!
Po- Es-tu à présent bien à moi?
Pa- Je suis à présent bien à toi!
Po- Alors tu seras ma petite femme!
Pa- Alors tu seras mon petit coeur!
Ens- Quel grand bonheur! quel grand bonheur!
Po- Vivre la joie de l’unité,
Pa- Vivre la joie de l’unité,
Po- Si le ciel comble nos projets!
Pa- Si le ciel comble nos projets!
Ens- En nous offrant de beaux enfants!
nous offrant de beaux enfants!
que nous aimerons tendrement
tendrement, tendrement.
De bons enfants attendrissants
qui empliront les coeurs de leurs parents.
(Po- D’abord un petit Papageno,
(Pa- et puis une petite Papagena.
(Po- un autre Papageno,
(Pa- une autre Papagena.

10.- (21-11)
(Narrateur): Tamino a aimé Pamina, la fille de la Reine de la Nuit, dès qu’il a vu son portrait.
Pamina a aimé Tamino dès qu’elle a su par Papageno qu’il venait la délivrer.
Sarastro a imposé l’isolement à Pamina et le silence à Tamino pour s’assurer qu’ils étaient dignes l’un de l’autre.
Ensemble ils ont franchi tous les obstacles. Liés par le coeur, libérés de leur silence et de l’isolement, enfin présents l’un à l’autre,
ils laissent éclater le bonheur de leurs retrouvailles.
Les rayons du soleil
ont chassé la nuit.
Que chacun s’émerveille
ils sont réunis.
Gloire au noble Tamino,
gloire à la douce Pamina,
ils ont vaincu la nuit.
Grand, grand, grand merci
Osiris,
grand, grand, grand merci
Isis.
Leur force a triomphé
ils surent résister,
puis l’amour est né pour enfin avancer.
Les coeurs peuvent s’exprimer, (bis)
écouter, échanger,
et partager.
Les fantômes de la lune s’enfuient,
vive la lumière de la vie,
goûtons la joie d’aimer.
Les fantômes de la lune s’enfuient,
vive la lumière de la vie,
quelle joie d’aimer.
la beauté, la sagesse pour l’éternité (bis)
éternité, éternité.


Haydn le matin


1.- Adagio (5’56”)
Aube naissante annonçant un nouveau matin,
aube naissante annonçant de nouveaux chemins.
Les ténèbres se dissipent et leur voile se déchire
laissant percer doucement
les premières lueurs du soleil levant.
Rayons timides, sans faire de bruit,
chassant la nuit.
Ô, joyeux matin qui vient.
Le jour s’éveille, et les oiseaux
fredonnent leurs chants de fête,
pour célébrer une aurore prometteuse.
Frémissements,
Gazouillements,
Bourdonnements
La nature reprend vie
petit à petit, brume légère s’efface
laissant ainsi la place à la chaleur bienfaisante.
Des bruits, des rumeurs venus d’ici, d’ailleurs
troublent peu à peu le profond silence.
Le cocorico,
l’aboiement d’un chien,
la voiture du pain,
claquement d’un volet,
pas précipités;
c’est la vie,
c’est la vie,
c’est la vie d’aujourd’hui. (bis depuis « le jour s’éveille »)
Le soleil brille et réchauffe les bêtes engourdies,
qui abandonnent le logis de la nuit.
Pleines de vigueur, elles œuvrent avec ardeur.
Chacune s’affaire foulant la terre, fendant les airs
pour dénicher le repas journalier vital afin de subsister.
Le soleil brille, réjouissant la vie
grand bonheur d’un avenir à découvrir,
d’un temps à vivre.
Le jour s’éclate, le jour s’éclate et les oiseaux
poursuivent leurs chants de fête
accompagnant les activités
d’une matinée enjouée.
S’interpeller,
communiquer
et partager.
Toute brume effacée,
cette nature dorée
livre sa douce présence.
Des voix, des senteurs,
mille et une couleurs
comblant de joie tous les sens.
Un hennissement,
le sifflet du train,
les pleurs d’un gamin,
machines essoufflées,
course échevelée,
tout s’est éveillé,
tout s’est éveillé
tout s’est éveillé dans la paix (bis depuis « le soleil »)

2.- Andante (6’21”).
Bienfait de la lumière,
bienfait de la lumière sur notre terre.
illuminant petits et grands,
réchauffant les coeurs souffrants

La vie reprend comme par enchantement
chacun va retrouver ses activités:
une maman prépare ses enfants
quant au père, il part aux champs.
Faire de son mieux, rester joyeux
faire de son mieux, rester joyeux,
aimer la vie qui nous est confiée
recevoir et savoir se donner,
sans jamais se lasser.
Travailler, chanter, aimer, partager.

La vie reprend comme par enchantement
chacun va retrouver ses activités:
le bon facteur distribue le courrier,
les écoliers filent étudier.
Faire de son mieux, rester joyeux
faire de son mieux, rester joyeux,
aimer la vie qui nous est confiée
recevoir et savoir se donner,
sans jamais se lasser.
Travailler, chanter, aimer, partager.
Les heures s’égrènent,
le temps ainsi nous entraîne.
Et voilà le soleil qui se reflète
Et voilà le soleil qui se reflète
sur les eaux
laissant glisser son éclat dans les ondes
laissant glisser son éclat dans les ondes
apportant sa chaleur bienfaisante, si bienfaisante, réconfortante.
Les heures s’égrènent
chacun poursuit patiemment ses activités
pour toute la matinée,
dans la campagne, les paysans labourent durement.
Faire de son mieux, rester joyeux
faire de son mieux, rester joyeux,
aimer la vie qui nous est confiée
recevoir et savoir se donner,
sans jamais se lasser.
Travailler, chanter, aimer, aimer.
Bienfait de la lumière
apaisant les êtres inquiets sur notre terre.

3.- Minuetto (4’11”).
Tous à présent sont très motivés)
afin que leur travail puisse germer.)
La persévérance et l’endurance,)
avec la patience, la conscience,)
mais aussi souvent le bon sens,)
toutes qualités souhaitables)
parfois même indispensables)
pour que le labeur fructifie) (bis)
Le savoir se transmet par le don des aînés )
pour se perpétuer.)
La jeunesse est prête à s’initier,)
accueillir l’expérience acquise)
dans le passé)
oser sans peur se risquer à proposer ses idées)
à participer, à innover,)
pour que le labeur puisse fructifier) (bis)
L’essentiel construire un bel avenir)
un monde chaleureux)
où vivre heureux ) (bis)
s’accepter, s’épauler, s’intégrer dans la fraternité
s’ouvrir, sourire
L’essentiel construire un bel avenir
dans un monde chaleureux où vivre heureux.
S’accepter, s’épauler, s’intégrer dans la fraternité
s’ouvrir, sourire.
Tous à présent…
…puisse fructifier

4.- Finale-Allegro (4’44”).
Bientôt midi, l’heure de se reposer)
bientôt midi pour se réconforter.)
Tous ensemble réunis)
pour déguster de bien bons mets,)
spécialités pour les gourmets.)
Apothéose d’une belle matinée.)
Les bavardages vont bon train)
autour des tables on s’amuse bien.)
On rit, on trinque avec ses voisins.)
La récompense du travail) déjà accompli (bis)

Comme la société nous a liés,
les uns, les autres,
travaillons pour le bien commun.
Voici midi l’heure de se reposer,
il faut songer à décompenser
en dégustant de bien bons mets
spécialités pour les gourmets;
apothéose d’une belle matinée.
En parlant avec ses amis
retrouver toute son énergie
pour aborder cet après-midi,
satisfaction de partager un temps d’amitié (bis depuis « comme la société »)

Moldau thème


Toi, envoûtante bohémienne, Mol, da, au,
tu cherches, dans la garenne, ton fier
chemin,
pour dépasser sans nostalgie ta mélancolie
et livrer ton âme tchèque, meurtrie par bien
des soucis,
à tout l’univers,
à toute la terre,
MOLDAU,
VLTAVA. (bis)

Texte inédit propriété de la Chorale d’enfants

“ LES MIRABELLES” reproduction

Mon beau sapin


Mon beau sapin
Roi des forêts
Que j’aime ta verdure

Mon beau sapin
Roi des forêts
Tu gardes ta parure

Toi que Noël
Planta chez nous
Au saint anniversaire

Toi que Noël
Planta chez nous
Tout brillant de lumière

Mon beau sapin
Tes verts sommets
Et leur fidèle ombrage

Mon beau sapin
Tes verts sommets
M’offrent la douce image

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